mercredi 8 avril 2009

Synthèse du bloc 2...L'écritue



Synthèse de mes apprentissages

Apprentissages effectués
Les cours pour le deuxième bloc a été très court. Par conte, nous avons quand même abordé des notions qui sont primordiales pour de futurs enseignants. Nous avons, en tout premier lieur, travaillé sur la structure du texte argumentatif. Tout d’abord, lorsque nous écrivons un texte, il est important de bien le structurer afin que le lecteur capte bien ce que l’on veut exprimer. Dans l’écriture d’un texte, il est d’une haute importance de prendre en considération la visée de notre texte. Il existe, bien évidemment, différents types de visées, par contre au courant de nos cours nous avons seulement abordé 2 de ces visées. Pour les textes descriptifs, la visée est dite d’informative, car ce genre de texte est écrit dans le but d’informer le lecteur sur un sujet en particulier. En second lieu, nous avons exploré la visée persuasive est typique des textes argumentatifs. Comme notre examen final exigences que nous rédigions un texte de ce type, il était primordial que l’on se familiarise avec la visée persuasive, car nous aurons à justifier et défendre concrètement nos opinions. Celle-ci à la fonction de convaincre, de persuader et d’influencer les lecteurs. Prendre conscience de l’existence des visées me permettra de me guider lorsque je voudrais écrire un texte et de la structurer correctement. Puis, nous avons fait une révision de la grammaire de la phrase. Tout d’abord, nous avons vu la phrase graphique qui se définit comme étant la structure d’une phrase c’est-à-dire la majuscule et le point. Ensuite nous avons défini la phrase syntaxique qui comprend un verbe conjugué et des compléments de phares. Durant ces cours, nous avons fait une révision de certaines notions grammaticales telles que : le nom et ses fonctions (son, graphie, sens et syntaxe), le verbe prédicat, les compléments de phrases et les types de phrases (juxtaposée, de coordination et subordonnée). Pour conclure le cours, nous avons vu le code Préfontaine pour la correction de textes. Ce code consiste à trouver le verbe prédicat et de l’accorder correctement avec son sujet.



Compétences langagières écrites
Pour ma part, je dois avouer que je suis une personne qui a de la difficulté à structurer ses idées, ce qui vient brouiller l’écriture de mes textes. Par contre, afin de m’améliorer je prends le temps de me faire un plan d’écriture. De plus, je fais plusieurs fautes d’orthographe, de grammaire et de ponctuation. J’essaye de m’améliorer en prennent le temps de faire lire mes textes afin de retracer toutes traces d’erreurs.

Compétences professionnelles
Dans ce bloc je peux affirmer que j’ai davantage travaillé la compétence professionnelle 2 : communiquer clairement et correctement dans la langue d’enseignement, à l’oral et à l’écrit, dans les divers contextes liés à la profession enseignante. J’affirme ceci tout simplement parce que j’ai tenté de respecter les règles d’écritures que j’ai apprises au courant de ces cours. Puis je peux dire que j’ai travaillé la compétence 11 : S’engager dans une démarche individuelle et collective de formation continue. Il en est ainsi tout simplement, car j’ai pris conscience de mes difficultés et je vais prendre les moyens nécessaires pour les m’améliorer.

Autoévaluation
Pour ma part, je pense que je mérite un 2/3. Je pense ainsi tout simplement parce que j’ai été absente pour un demi. Or, même si je suis présente en classe, je ne participe pas autant que je le devrais, mais je prends note de ce que l’on apprend.



Synthèse du bloc 1...L'oral

Synthèse de mes apprentissages
Apprentissages effectuées
Dans le cadre du cours d’expressions orales et écrites, nous avons terminé le 6 mars dernier le bloc oral. Dans ce même ordre d’idée, il est important de faire une synthèse de ce que nous avons appris afin de bien appréhender ce qui nous fut enseigné.
Dès les premier cours nous avons abordé, les éléments qui sont les plus dans la communication.
Nous avons fait ressortir le graphique suivant :



Nous avons aussi fait ressortir toutes les différences entre l’oral et l’écrit. Bien évidemment, la communication faite par écrit et celle faite à l’oral présentent aussi certains liens.
Phonème : son produit par les organes de la parole : [p], [f], [e]
Fonction des phonèmes :
- Produire des sons
Graphème : lettre ou suite de lettres ayant une fonction dans la chaine écrite : b dans bijou, é dans dansé, at dans chat
Fonctions des graphèmes :
- Phonique : transcrire les phonèmes
- Morphologique : marquer la grammaticalité (genre, nombre, conjugaison, familles de mots)
- Distinctive : distinguer les homophones (a, à, ces, ses)
- Étymologique : rappeler l’origine d’un mot (loup = lupus en latin)

Il ne faut pas oublier que la communication a différentes fonctions. Il est possible d’identifier 6 fonctions du langage :
– Fonction expressive;
Centrée sur l’émetteur
Se traduit par des traits non linguistiques (mimique, intonation, gestes, intensité du débit, pauses, ou silence, etc.)
Formes exclamatives en général
Ton de la voix
Ponctuation (!)
Prédominance de la première personne grammaticale

– Fonction conative, incitative ou persuasive;
Axée sur le destinataire
Langue du pouvoir, de l’ordre, du commandement, de la directive
Langue de la publicité

– Fonction référentielle;
Pour informer, expliquer, préciser
De qui ou de quoi parle-t-on?
Des faits véridiques ou faux
Dominance de la troisième personne grammaticale

– Fonction relationnelle ou phatique;
Maintien; contact psychologique et physique entre les individus
Conventions
Politesse
Salutations

– Fonction métalinguistique;
La langue comme objet d’étude
Dictionnaires, grammaires, lexiques spécialisés, etc.
Utilisation du code pour parler du code

– Fonction poétique;
Expérimentation des potentialités de la langue
La forme du message importe plus que le message lui-même
Tout jeu ou expérience ludique sur la langue : (métaphore, rime, ironie, etc.)

Il est important de connaitre les fonctions du langage dans la simple perspective où elles nous permettent de bien gérer une classe, de désamorcer une situation difficile avec un élève, un collègue, un parent et d’adopter un canal commun avec son interlocuteur
Par la suite, nous avons abordé les faits prosodiques. Ceux-ci se déterminent comme étant les procédés articulatoires. Il a 4 faits prosodiques très importants.
Le premier est la durée et celle-ci se décrit comme étant le fait que certaines voyelles doivent être prolongées afin de bien prononcer et de bien comprendre le message qui doit être passé.
Le deuxième est l’accentuation et cette dernière permet à l’interlocuteur de mettre de l’emphase sur ce qui est le plus important dans le mot. Il peut disparaitre au profit de l’accent d’insistance selon le contexte et l’effet désiré.
Le troisième est l’intonation se définit comme étant la variation de hauteur qui porte sur un mot ou sur une suite de mots.La quatrième est l’assimilation est défini par le fait qu’un son influence sur un autre au point que le second ressemble au premier (chapeau t’paille)
Au courant des cours théoriques, nous avons abordé la diction et la projection de la voix. Dans cette notion, il est important de prendre en considération que durant une communication verbale il faut prendre conscience du fait que l’intonation, que le niveau de la voix, que le rythme, que l’articulation et la prononciation ont une grande influence dont la manière que le message est perçu par le récepteur.

Pour ce qui est de l’intonation, il faut faire attention de ne pas être trop monotone, de ne pas manquer de vigueur et de réfléchir au ton de notre récitation. Pour ce qui est de la prononciation, il faut faire attention au roulement excessif du R, aux diphtongaisons excessives, aux liaisons mal placées et à la prononciation archaïque. Lorsque nous parlons il est important de bien articuler et de ne pas trop faire d’escamotage, de ne pas avoir une voix voilée ou la bouche fermée et d’avoir une bonne mobilité de la mâchoire. Il ne faut pas non plus que l’ânonnement et le balbutiement ne soient pas recommandés durant une conversation. Pour ce qui est du rythme, ils primordial de faire de bonnes pauses d’avoir un bon débit et de le varier. Finalement, pour ce qui est de la voix, il faut avoir une bonne hauteur, une bonne intensité et un bon timbre.

Il ne faut pas oublier que dans la communication il a différents registres de langue
Le populaire (familier)
Le standard
Le soutenu

Lors de toute communication verbale, il ne faut pas oublier que le non verbal a un très grand rôle. Dans le nom verbal, il faut prendre en compte la gestuelle, le regard, l’expression du visage et du corps et l’écoute.
Pour ce qui est de la gestuelle il est important de prendre en considération ces trois rôles c’est-à-dire; donner de l’information, servir l’orateur et desservir l’orateur.
Dans la communication, il ne faut pas avoir peur de regarder son public, il ne faut pas avoir peur de se faire regarder et moins on regarde son public au début et plus il est difficile de le regarder par la suite. S’il a l’absence de contact visuel de l’émetteur est toujours interprétée négativement par le récepteur puis l’émetteur est stimulé à livrer son message si on le regarde. Mobiliser l’attention, créer de la communication et offrir une image de soi sont les 3 rôles que renferme le regard. Lorsque l’émetteur est souriant, ceci démontre que l’échange est agréable et positive. Si le front et les sourcils sont froncés cela démontre que l’échange est désagréable et que l’émetteur est en colère et qui manifeste du mécontentement. Lorsque l’émetteur a une tenue droite, cela démontre que celui-ci a une confiance en lui-même. Par contre, une attitude trop décontractée à l’excès ou la rigidité vient annuler l’expressivité. Il faut absolument éviter de croiser les bras et d’arrondir le dos lors d’une communication. L’écoute lors d’une conversation est primordiale parce qu’elle forme une interaction, elle permet de répondre aux questions, elle intervient lorsqu’il y a une difficulté de compréhension ou de la fatigue et provoque une réaction verbale ou non à ses propos. Finalement, les supports visuels sont très utiles lors de présentation.
Maintenant, il est primordial d’exposer la notion des anglicismes. Ceux-ci sont parfois très nuisibles lors de certaines conversations. Dans ce même ordre d’idée, il est possible d’identifier 5 types d’anglicisme.
Le premier est les anglicismes de mot. Il est défini comme étant des mots empruntés à la langue anglaise. Certains emprunts sont fautifs et inutiles, car il existe un mot en français pour les exprimer. Par contre, certains emprunts sont corrects, car il n’existe pas de mots en français pour les définir. Le deuxième est les anglicismes de forme (orthographiques). Ceux-ci sont des mots dont l’orthographe est empruntée de l’anglais. Le troisième est les anglicismes de construction. Ceux-ci sont des calques d’une construction anglaise, non acceptée et des traductions littérales d’une expression ou d’un mot anglais mais qui sont acceptées. Le quatrième est les anglicismes de sens. Ces derniers sont des Emprunts d’une signification anglaise pour la donner à un mot français n’ayant pas cette signification que l’on retrouve souvent dans le registre de langue familier.
Finalement, le dernier type d’anglicisme est les anglicismes typographiques. Ils sont des abréviations ou signes typographiques empruntés à l’anglais
LA SOLUTION : Le Dictionnaire

Mes observations
Suite à l’exposition de notions apprises dans le cours, je peux exposer mes forces et mes faiblesses. Dans un premier ordre d’idée, il est primordial d’affirmer que toutes ces notions sont importantes pour de futures enseignantes. Je pense ainsi tout simplement parce que ces dernières vont nous permettre de mieux communiquer avec nos élèves et d’avoir un parler un peu plus soigné. Je crois fortement que ces notions seront d’excellents outils autant pour notre travail que dans la vie de tous les jours.
En communication orale, mes forces sont que je suis capable de m’exprimer avec aisance et j’utilise un vocabulaire soutenu lorsque je veux exprimer mes idées. Je suis une personne qui articule bien et qui reste elle-même lors de diverses discussions. Pour ce qui est de mes faiblesses je pourrais que je suis une personne qui parle avec plusieurs abréviations. Ce que je veux dire est le fait qu’au lieu de dire « puis » je vais dire « pis » ou au lieu de prononcer « Noël », je vais dire « nowel». Je crois que ce cours nous a permis de prendre conscience de plusieurs erreurs de langue et d’avoir des outils pour nous améliorer. J’ai pris conscience de mes erreurs par moi-même et par l’observation de mes collègues. Durant ces cours, mes forces étaient que j’utilisais un vocabulaire simple et compréhensible. Par contre, certains mots ressemblaient à du joual et certaines conjugaisons de verbe étaient incorrectes. Mon rythme de communication rend ma parole compréhensible. Au deuxième cours, j’ai davantage travaillé la prononciation des mots Au troisième cours, j’ai fait attention à mon non verbal, car je suis une personne qui gesticule beaucoup. Ce cours fut instructif et me sera utile malgré le fait que je quitte le domaine de l’enseignement. Ces notions apprises me permettront de bien communiquer dans mon métier futur. Par contre, je dois avouer que j’ai eu énormément de difficulté à me concentrer et à rester motivé dans ce cours, car je n’y accordais pas aucune importance vu que je change de programme d’étude. Cependant, faire la synthèse de mes apprentissages m’a fait réaliser que j’ai pris consciences que j’avais un parler très peu soigné, mais qu’avec ce cours j’ai eu la chance d’améliorer mon langage et de réfléchir à l’importance que j’accorde à la communication.

Compétences professionnelles
À travers nos différents cours, nous avons travaillé différentes compétences professionnelles. Dès le premier cours, nous avons exploité la compétence 1, car nous avons débattu nos opinions personnelles sur le clavardage. Bien évidemment, pour moi, il fut très difficile de développer les compétences professionnelles, car j’ai réalisé que ce domaine n’est pas fait pour moi donc j’accordai peu d’importance aux compétences professionnelles. Par contre, je sais que pour de futurs enseignants il est d’une haute importance de se familiariser avec ces compétences, car elles font parties de nous et elles sont considérées comme un code de conduites chez les enseignants.



Évaluation
Pour ce qui est de l’évaluation d’équipe, je donne une note de 5 à Vicky Giroux, Nicole Trudel, Nadia Boutin et Véronique Pilotte-Charron, car elles étaient présentes à tous les cours et elles ont participé activement aux diverses discussions. Pour Janie Tremblay et Marie-Pier Chouinard, je lui accorde une note de 4,5, car elles ont été absentes une seule fois. Cependant, leurs participations étaient actives et elles étaient bien préparées pour les discussions. Finalement, je donne une note de 3 à Mélissa Beaudoin-Sabourin, car elle s’est absentée pour 3 cours.

jeudi 15 janvier 2009

Le création de mon Blog

J'ai finalement fais notre devoir